Intervenante : Claire Lemarchand, directrice de communication chez Ecosystem
Le bonus réparation, c’est très simple. L’objectif, c’est de baisser la facture des réparations des appareils électriques et électroniques hors garantie. Ça va du sèche-cheveux à la machine à laver la vaisselle ou le linge, en passant par de l’outillage, de l’informatique, le téléphone portable, bref, tout un tas d’objets du quotidien.
Ce dispositif il vient de la loi AGEC, Anti-Gaspillage pour une Economie Circulaire. Comment c’est financé ? Tout simplement par l’éco-participation, qui est versée au éco-organismes, dont Ecosystem. Ce sont les fabricants et les distributeurs ainsi que les importateurs qui le financent, nous versent une éco-participation par appareil mis en marché.
Depuis le 1er janvier 2024, le bonus a été doublé sur appareils, la casse des écrans de téléphones portables est dorénavant sujette au bonus. Troisième évolution, il y a plus d’une vingtaine d’appareils qui sont éligibles, qui ne l’étaient pas l’année dernière.
Le consommateur n’a pas grand-chose à faire. Il va d’abord chercher le réparateur labélisé QualiRépar sur l’annuaire ecosystem.eco, il se rend ensuite chez le réparateur qui va faire un devis, et ensuite c’est le réparateur qui avance la remise de ce bonus.
Pour trouver toutes les informations relatives au bonus réparation, un seul réflexe, www.ecosystem.eco. Vous allez y trouver l’annuaire des réparateurs, la liste des équipements concernés, la liste des pannes éligibles ou non-éligibles, et les montants de chaque bonus.
C’est un vrai plus pour le porte-monnaie, et pour l’environnement.